Presse

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14/6/2002 - Sally Bat des Ailes

Sally Bat des Ailes donnera un nouveau concert parisien le 1er juillet, à La Scène. La première partie de cette soirée sera assurée par le quatuor Quadrasonic, originaire de la région Rhône-Alpes, qui se produira en live à partir de 21h30. Les trois membres de la formation pop étaient déjà montés sur scène à plusieurs reprises ce mois-ci et avaient assuré un concert à La Cigale de Paris.

Découvert l'année dernière, Sally Bat des Ailes vient de sortir un premier album éponyme regroupant treize compositions. Le groupe totalise également deux singles à son actif : "Je Te Veux Encore" et "Bleu", commercialisés respectivement en juillet 2001 et avril 2002.

© MédiasActu SA - 2002Par Christophe Vannier

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13/05/02 : http://www.musicactu.com

Sally bat des ailes prend son envol. Après le succès de son premier single, « Je te veux encore », le groupe est actuellement en tournée en attendant la sortie de son premier album dans les prochaines semaines.

 

Sally bat des ailes ce sont trois personnes : Jérome Lucas, David Marescaux et Alex Toesca. Quelles sont vos fonctions respectives dans le groupe ?

Alex : je suis le batteur du groupe et co-compositeur

Jérome : Je suis chanteur, auteur et compositeur du groupe.

David : je suis guitariste et également co-compositeur et co-auteur du groupe.

 

Musicalement, que faisiez-vous avant la formation de Sally bat des ailes ?

Jérome : j’avais fait un groupe quand j’avais 16 ans, c’était juste avant « graine de star ». C’était un groupe de punk-rock, un truc un peu déjanté d’ailleurs notre tube s’appelait « Fuck you »… Tu vois le décalage par rapport à Sally…

David : je suis originaire de Bretagne, je suis resté longtemps là-bas avec le même groupe et je suis venu sur Paris où j’ai tourné dans différents groupes et avec différents chanteurs.

Alex : Je suis originaire de Nice, je fais ce métier depuis quelque temps et notamment j’étais batteur à l’émission « Graines de star » où l’on s’est rencontré avec Jérome.

 

Justement, Alex, ton père est trompettiste et membre fondateur du groupe Magma. Est-ce que cela t’a influencé dans ta carrière musicale ?

Alex : Si Magma m’avait influencé, je crois que je serais encore plus barge que ça ! Quoi que… Si tu viens nous voir en tournée, sur scène, tu en jugeras par toi même… Magma ne m’a pas influencé musicalement. J’ai un père assez jazzy et assez puriste, ce qui me gonfle assez en fait. J’ai été beaucoup plus influencé par la soul, par l’acid jazz, mais pas par mon père au niveau de Magma. En revanche, j’appréciais énormément Magma quand je voyais ça sur scène. J’étais vraiment impressionné mais musicalement je n’étais pas imprégné.

 

L’histoire de Sally bat des ailes a débuté à partir de 1998. Comment vous êtes vous rencontrés et comment avez vous créé ce groupe ?

Jérome : Pour moi, tout a commencé avec l’émission « graines de star » sur M6 où j’ai été candidat en tant que chanteur. Sur le plateau, j’ai rencontré Alex qui était batteur de l’émission. C’était la première « fusion » du groupe. On a commencé à bosser sur des titres pour un album solo. Ensuite, David, qui était un pote à Alex est venu faire des guitares sur ce futur album. Après, nous avons commencé à travailler plusieurs mois ensemble et la fusion s’est faite tout bêtement : on s’est dit : « ça le fait à trois ! Donc pourquoi ne pas se lier et faire un groupe ? »

 

Ensuite l’un des premiers moments importants dans la vie du groupe est un nouveau passage sur M6 deux ans plus tard. Que s’est-il passé exactement ?

David : on a fait « Hit machine » en juin 2000. Cela nous a permis d’avoir un support vidéo pour démarcher auprès des maisons de disques et tout a démarré à partir de ce moment là. Le single avait été enregistré avant l’émission.

Jérome : M6 a reçu énormement de courrier par rapport à cette émission là ! C’est ce qui, je pense, a poussé Universal à nous signer !

Alex : en fait, pour rectifier tout ça et pour être franc, on se faisait jeter de toutes les maisons de disques. Ca ne marchait pas du tout, c’était une catastrophe.Finalement, on a la chance de pouvoir faire « Génération Hit » au sein de « Hit machine ». C’est ce qui nous a véritablement lancé, ça nous a permis de pouvoir signer assez rapidement après cette télé. Ceux qui nous avaient virés auparavant sont revenus à la charge mais c’était trop tard. On a signé avec les seuls qui ne nous avaient pas dits non !

 

Entre cette rencontre en 1998 et ce passage sur M6 en juin 2000, qu’avez-vous fait ?

Alex : Notre production avait demandé un peu partout et il ne se passait rien du tout. On a travaillé deux ans sur les compos pour pouvoir présenter quelque chose de propre.

Jérome : il y a eu beaucoup de travail sur les compos. J’ai apporté des chansons que j’avais écrites depuis un petit bout de temps, bien avant mon passage à « graine de star ». On a travaillé, on a écrit ensemble, on a essayé de trouver un style musical qui nous correspondait le plus. Ca a été la pop car nous composions souvent guitare acoustique/voix ou piano/voix. On est donc parti sur ce trip là et chacun a apporté ces idées. Ca a été la base du travail pour nous.

 

Vous avez appelé le groupe Sally bat des ailes. C’est un peu inattendu comme appellation. Pourquoi avoir choisi ce nom, d’où est venue l’idée ?

Jérome : « Sally Bat Des Ailes » est une chanson qui faisait partie des maquettes qu’on a présentées à notre producteur et c’est une chanson acoustique voix qui fait partie de l’album. A l’époque, on cherchaient un nom de groupe et je t’avoue qu’on est passé par tous les noms : de Jade à Pollux, en passant par la Motte à Boeuvron. En fait, notre producteur nous a dit : « Mais, votre nom, vous l’vez ! C’est ce titre « Sally Bat Des Ailes ! ». Il trouvait ça vachement beau. Au début, on lui a demandé s’il ne se foutait pas de notre gueule. On se disait que ça sonnait un peu spé.

David : La première fois que tu lis ça…. Ca fait un peu bizarre de voir écrit « Sally bat des ailes ». Puis, en fait, au fur et à mesure, ça le fait ! Quelque part, on voulait un nom assez original et plus ou moins composé, un petit peu comme une phrase, un peu dans l’esprit d’Autour de Lucie, dans ce style de nom de groupe. Sinon, à la base, « Sally bat des ailes » vient d’un texte, Jérôme va te l’expliquer.

Jérôme : en fait, moi, je suis un grand rêveur et j’ai fait un rêve. Je me suis réveillé en pleine nuit et j’ai écrit la chanson. Dans mon rêve, il y avait une nana qui était au bord d’une falaise et qui se jetait et s’envolait, et cette nana, je l’ai appelée Sally. Et puis c’est symbolique, c’est une sorte d’ange aussi.

 

Après la sortie de deux singles, « Je te veux encore » et « bleu », votre premier album, époyme, va prochainement arriver dans les bacs. Comment s’est déroulé le travail de conception de cet album ?

Alex : Ce qu’il y a de génial, c’est que ça va très vite. Quand je dis ça, ce n’est pas de la prétention, loin de là. C’est le fait que l’on s’entend très bien, que l’on se comprend sans problème, et donc ça va très vite au niveau de la conception du titre, des arrangements et même de la mise en boîte. On ne reste pas deux ou trois jours en disant : « ça ne va pas, ça ne tourne pas ». Par exemple, la dernière fois lorsque l’on préparait un concert pour le début de la tournée, Jérôme est arrivé avec un titre qui s’appelle « Où je gagne ». Il nous a chanté ce titre, je me suis mis derrière la batterie, il a pris la gratte. Sans mentir en moins de dix minutes, le morceau était structuré, fini, au revoir. Le côté vachement sympa c’est qu’on a la chance d’être très spontané.

Jérôme : en fait, on ne se prend pas la tête sur des détails. On fait de la musique et c’est ce qui nous plait avant tout. On est un groupe pop, on ne va pas chercher à faire des petits trucs pour que les gens aillent achete le disque. Le travail de base, il vient, il est comme il est et voilà. Il y a plusieurs façons de travailler. La plupart du temps, on arrive guitare/voix avec la mélodie et on refait un texte par dessus. Ca arrive que David vienne avec une chanson finie, texte musique. Il nous l’amène, on l’écoute, on se dit : « tiens, on verrait bien ça dessus ». On essaye, on le fait, puis on termine les arrangementstous ensemble. Ca arrive aussi que j’ai un texte et pas de musique.

David : il n’y a pas de règle. Le détail, c’est pour la scène. On travaille plus les chansons pour la scène.

 

Sur cet album, on peut découvrir une douzaine de singles et entre autres le titre « bleu » avec un featuring de Dion Henderson. C’est plutot inattendu d’avoir en featuring un rappeur alors qu’on serait tenté de vous cataloguer comme un groupe pop-rock. Pourquoi ce choix ?

Jérome : comme on te disait tout à l’heure, il n’y a pas de règle pour nous. On fait ce qui vient sur le moment. Quand on a fait cette chanson en studio, je me suis mis à rapper sur le titre pour déconner et il se trouve que ça l’a fait. Comme je parle anglais comme une vache espagnole, on a téléphoné à Dion qui est un ami à notre producteur. Il est venu faire un texte et poser sa voix et ona gardé le titre comme ça.

Alex : pour revenir à l’album, d’une part on n’a pas de règle et d’autre part, au niveau des titres, au niveau des compo, on a vraiment essayé de mélanger beaucoup de choses. Ce n’est pas vraiment une couleur pop et pop-rock sur l’album. Il y a un peu de tout, que ce soit du groove au niveau des rythmiques, que ce soit variété au niveau du son, après tu as le côté plus rock avec les guitares de David et Jérome. On aime le mot métissage et c’est ce qu’on a essayé de faire au niveau de l’album. Lorsqu’on l’écoute, il n’y a pas deux titres qui se ressemblent même si on a essayé de lui donner une couleur générale pour marquer le nom de Sally.

 

Justement, en parlant de couleur, s'il y avait teinte pour symboliser cet album, j'ai l'impression que ce serait le bleu avec des textes qui évoquent essentiellement l'amour, la passion, les ruptures...
Jérôme : En fait, c'est une période. Pour les titres comme " Noce de Clore ", " Bleu ", pour tout ce qui rapporte à l'eau, aux sentiments, aux ruptures, pour moi, au niveau des textes c'est une période où j'ai écrit dans ce trip-là. Maintenant, j'écris d'autres chansons et c'est vrai que je parle moins de ces thèmes. Aujourd'hui, c'est un petit peu plus rentre dedans au niveau des textes, c'est un petit peu plus mature. A l'époque de ces textes-là, j'avais 17-18 ans, j'étais beaucoup plus jeune. C'est une évolution...

 

Il y a d'ailleurs un titre qui est un peu en rupture avec cette tonalité, c'est le morceau " La Vida Asesina ". Sur ce titre, il est question d'un Général. Qu'y a-t-il derrière ce personnage ?
Jérôme : Ce titre, c'est effectivement la fin de cette période. C'est plus la couleur qu'on aura sur le deuxième album, si on a la chance d'en faire un. Le général ne vise personne en particulier, le général, c'est en général. Les chanteurs qui font une chanson en disant " j'aime la guerre " sont mal barrés. " La Vida Asesina ", c'est un peu contre ça, contre tout ce que l'on voit au Proche Orient en ce moment, les gens qui se font assassiner pour rien. Il y a aussi un monsieur qui a pris beaucoup de point récemment et contre lequel on a une grosse haine.

 

C'est principalement Jérôme et également parfois David qui écrivent les textes de Sally Bat des Ailes. Comment vient l'inspiration ? Avez-vous des auteurs fétiches ? Comment se déroule l'écriture des paroles d'un titre ?
Jérôme : Je me réveille souvent la nuit. J'ai des idées et je les écris tout bêtement ou je prends mon magnéto et j'enregistre. Ou alors, si je n'arrive pas à dormir, je suis un peu insomniaque, je prends ma guitare et j'y vais. C'est dur pour les voisins, mais je fais de beaux textes la nuit, donc ça va !
David : Ca dépend, parce que lorsque l'on est en tournée et qu'on dort dans la même chambre d'hôtel, ce n'est pas facile...
Jérôme : C'est vrai... mais les rêves me permettent d'écrire plus facilement donc je m'en sers. Pour les auteurs, Gainsbourg m'inspire beaucoup. A chaque fois que je lis ces textes ou que je l'écoute chanter, ça me fait quelque chose. C'est quelqu'un qui m'a beaucoup inspiré au début ou j'ai commencé à écrire. Il a aussi d'autres artistes comme Obispo mais, là ce ne sont pas les textes mais les mélodies qui m'inspirent.

 

Quelles sont respectivement les chansons qui vous touche le plus dans cet album et pourquoi ?
Jérôme : Moi, c'est " Mon Âme n'est plus à Vendre ". Pourquoi ? Je ne sais pas... C'est celle qui me fait le plus de choses quand je l'écoute. Je ne me lasse pas de cette chanson. Il y a aussi une chanson dont je suis très fière dans l'album, c'est " Noce de Clore ". On l'a écrite avec David dans un train, on revenait de chez moi. Je trouve qu'on a réussi à mettre les mots qu'il fallait sur la mélodie. On était assez fier quand on a fait cette chanson.
David : C'est difficile de répondre à cette question. Je ne sais pas. Je me sens bien dans toutes les chansons. J'aime beaucoup " Laisse ", ça me détend c'est une ballade sympa, ça peut se jouer aussi bien guitare/voix qu'avec toute l'artillerie derrière. Maintenant, j'aime beaucoup aussi " La Vida Asesina " mais sur scène.
Alex : Je te rejoins. Pour moi, c'est " La Vida Asesina " parce qu'elle est assez significative au niveau de la scène. On se revendique énormément comme étant un groupe de scène. " La Vida Asesina ", quand je la joue sur scène, je deviens fou ! Je me sens super bien. C'est peut-être aussi un aboutissement parce que " La Vida Asesina ", on le joue souvent en fin de concert et une fois qu'on a joué ce titre-là, Je sais si le concert s'est bien passé ou pas.

 

Je crois justement que l'on va pouvoir vous voir très prochainement sur scène avec le démarrage d'une tournée. Qu'en est-il exactement ?
David : La tournée est répartie sur toute la France. On a commencé par Amiens le 17 avril dernier, il y a La Cigale le 13 mai. C'est pour nous une présentation de l'album. On part sur toute la France. Les dates vont se préciser tout au long de l'année, on va faire des festivals aussi pendant les grandes vacances en juillet et en août.
Alex : En fait, on part en tournée, mais ce n'est pas une réelle tournée comme si tu partais 15 jours ou 3 semaines, c'est très étalé. On part 4 jours, on rentre 15 jours, on repart 10 jours on rentre 5 jours.
Jérôme : En tout cas, on espère avoir un maximum de scènes, parce que nous notre grand trip, c'est ça : être sur scène. On peut exploiter les chansons différemment. En plus, quand quelqu'un écoute ton disque chez lui, tu ne vois pas ses réactions mais quand tu es sur scène tu les vois sur toutes les chansons et moi, c'est ça qui m'intéresse.



Sur votre album, dans la liste des remerciements, il y a une mention spéciale au public du Bobital. Que représente pour vous ce lieu et pour quelles raisons avez-vous fait ces remerciements ?
Alex : Pour nous, c'est notre première grande véritable scène. On l'a faite l'année dernière. On avait fait d'autres petits concerts sur Paris mais là, c'était notre première date en province. On a été tellement bien reçu au niveau du public, il y a eu un tel rapport entre nous et le public qui nous a tellement marqué qu'on a décidé de le remercier directement sur l'album.
David : A ce moment-là, il ne se passait pas grand chose pour nous. Il n'y avait pas de sorties de disques, le premier single n'était pas dans les bacs, il n'y avait pas de clip. On était passé à " Graines de Star " 15 jours avant, mais on a été très étonné de l'accueil, des gens qui venaient peinturlurer avec des drapeaux. C'était hallucinant, comme si on avait vendu plein de disques ou qu'on était connu depuis des années. Du coup, on est resté deux jours, on a joué les deux soirs !
Jérôme : En plus c'était chez David !
David : Ce n'est pas par chauvinisme, mais c'est vrai qu'on est bien accueilli en Bretagne !

 

Quels sont vos projets ?
Alex : Dans l'immédiat, c'est donc La Cigale le 13 et la tournée avec pas mal de dates qui vont nous emmener jusqu'à la mi-octobre. On commence déjà à travailler sur le deuxième album même si le premier n'est pas encore sorti. Il devait sortir soit début juin soit début septembre. Mais nous, en tout cas, on a petit studio qui nous appartient et on travaille déjà sur les maquettes du prochain album.
Jérôme : On essaye de s'enrichir d'autres choses pour ne pas rester dans le concept album promo. On a aussi besoin " d'évacuer ", on travaille sur d'autres chansons, ça nous libère l'esprit.



A propos de ce deuxième album déjà en préparation, est-ce qu'on peut en savoir un petit peu plus ?
Jérôme : C'est une autre période. Au niveau des textes, j'ai pris de la maturité. J'ai appris pas mal de choses, j'ai pris de bons conseils de gens du métier, notamment des artistes comme Calogéro ou Obispo. C'est une autre évolution, ce sera toujours pop, ce n'est pas du gros rock métal, il y aura un ou deux titres qui penchent plus vers du Noir Désir ou du Saez mais en restant toujours aussi mélodieux avec des textes un peu à fleur de peau.
Alex : On prendra un peu plus de risques au niveau des sons sur certains titres en mettant un peu plus de gratte, un peu plus de sature et de batterie. On aura des morceaux plus basiques au niveau rock et peut-être un peu moins de mélange que sur le premier album. On a fait beaucoup de mélanges boucle et batterie acoustique.



Prochainement, vous allez aussi ouvrir votre site internet : www.sallybatdesailes.com. Qu'est-ce qu'on va y trouver ?
David : Sur ce site, il y aura l'actu du groupe, au fil des jours, les dates de concert. Pour l'instant il est en cours de construction donc on n'a pas tout vu.
Jérôme : Je précise qu'il y a aussi deux filles qui font partie du fanclub et qui ont monté un site. Ce site est magnifique, ça me touche beaucoup à chaque fois que j'y vais. Donc je crois que le plus beau site que l'on puisse avoir c'est celui-là.



Depuis les débuts du groupe, quel a été le moment le plus marquant que vous avez vécu ?
Alex : Pour moi, je pense que c'est la première fois où l'on a bossé ensemble dans mon studio. C'est le moment où l'on s'est réellement entendu musicalement sur le premier arrangement que je faisais pour Jérôme et où David est arrivé. Il a tout de suite compris ce que je voulais au niveau des guitares. Je n'ai pas eu besoin de lui expliquer par A + B. Suite à cela, à l'écoute, Jérôme a dit : " Ok ! Ca le fait ! C'est la première étincelle musicale ".
David : Pour moi, c'est notre première scène ensemble, c'est le résultat de notre rencontre et d'un travail même si ce n'était pas musicalement notre meilleure prestation. C'était la première, on a fait tout ce qu'on a pu pour tout donner, c'était bien et on aime bien le défi. Ensuite, ça a été la signature chez Universal. J'espère qu'il y en aura encore plein d'autres des moments comme ça.
Jérôme : Pour moi, ça reste Bobital, on s'est tapé un bon délire

 

Quel serait votre plus beau rêve musical ?
Jérôme : J'aimerais beaucoup écrire pour Florent Pagny.
David : J'aimerais bien faire quelque guitare avec Goldman ou Bertignac, des gens comme ça...
Jérôme : ...et un petit duo avec Aubert aussi !
Alex : Moi, ce serait que tu reviennes nous interviewer dans dix ans !

dédicace Sally Bat des Ailes

 

 

 

 

 

Pari tenu !

© MédiasActu SA - 2002 - Par Olivier Delay

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07 Mai 2002 : http://www.tf1.fr/people/exclusif

Sally bat des ailes à Ouarzazate au Maroc

Après quatre ans passés ensemble, le groupe Sally bat des ailes tourne son deuxième clip Bleu dans une ambiance très décontractée.

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Mai 2002 : http://www.vizzavi.fr/channel-music/getTemplate.do?view=music/home

 

 

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9 Mars 2002 : 

 

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21 février 2002 : http://www.canalj.net/mag/php/fiche.php3?idElt=155&rubrique=musik#

Sally bat des ailes
Je te veux encore

Avec son côté juvénile et adolescent, la jolie rengaine pop de ce trio s’attache plus à la forme qu’au fond. Sa mélodie accrocheuse, portée par une voix douce et une bonne guitare rock, ainsi que son texte au doux parfum d’amour sont en train de donner corps aux rêves des trois garçons. Jérôme, jeune auteur compositeur interprète, Graine de Star à ses heures passées, associé au batteur de l’émission et à un ami guitariste, forme Sally Bat des ailes. Un nom à rallonge, mais aussi un titre de chanson. En effet, ce single intitulé "Je te veux encore" n’est que l’avant-goût d’un premier album qui devrait voir le jour en janvier prochain. C’est à la fois gentil, sympathique et dynamique. Avis aux amateurs !
Texte : Julien Gaisne

(Mercury/Universal)

 

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13 février 2002 : http://www.cafedulive.com

 

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Août 2001 : planet scoop

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2 Août 2001 : http://www.balanceleson.com

Sélection de la semaine

 

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Mai 2001 : Star Club

 

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